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La Chlamydiose

Sommaire

La chlamydiose est une infection transmissible sexuellement (ITS) causée par une bactérie. Elle peut se transmettre par des contacts sexuels. Toutes les personnes sexuellement actives sont exposées au risque de contracter la chlamydiose.

La bactérie Chlamydia peut infecter l’urètre (conduit par lequel s’écoulent l’urine et le sperme), le col de l’utérus, le rectum, la gorge et les yeux. De nombreuses personnes atteintes de chlamydiose n’éprouvent aucun symptôme. Si des symptômes se manifestent, ils apparaissent habituellement entre deux et six semaines après l’infection et peuvent inclure : douleur et saignements vaginaux, douleur pendant la miction (action d’uriner) et écoulement anormal du vagin, de l’urètre ou du rectum.

Pour le dépistage de la chlamydiose, des échantillons sont prélevés aux sièges de l’infection soupçonnée et soumis à une analyse de détection de la bactérie en cause. La chlamydiose peut être guérie avec des antibiotiques.

La chlamydiose peut accroître le risque de transmission sexuelle du VIH. Cependant, les personnes vivant avec le VIH et suivant un traitement efficace ne transmettent pas le VIH par voie sexuelle, même si elles ou leurs partenaires présentent une ITS, y compris la chlamydiose.

L’utilisation systématique et adequate de condoms réduit le risque de contracter la chlamydiose ou de la transmettre à une autre personne.

À propos de nos mots – CATIE s’engage à utiliser un langage pertinent qui parle à tout le monde. Les gens emploient des termes différents pour décrire leurs organes génitaux. Dans ce texte, nous utilisons des termes médicaux comme vagin et pénis pour décrire les organes génitaux. Les personnes cisgenresi se reconnaissent souvent dans ces termes. Certaines personnes transgenresii utilisent d’autres termes, tels que trou frontal et « strap-on » sans ceinture. CATIE reconnaît et respecte le fait que les gens utilisent les mots avec lesquels ils sont le plus à l’aise.

Des messages clés sur la chlamydia destinés aux client·e·s sont disponibles ici.

Qu’est-ce que la chlamydiose?

La chlamydiose est une infection transmissible sexuellement (ITS) causée par la bactérie Chlamydia trachomatis. Cette bactérie infecte les membranes « humides » (muqueuses) de l’organisme. La chlamydiose peut infecter le tractus génital, y compris le col de l’utérus, l’utérus, les trompes de Fallope, l’urètre (conduit par lequel l’urine et le sperme sortent du corps) et l’épididyme (conduit situé dans le testicule qui entrepose et transporte du sperme). Elle peut également infecter la bouche, la gorge (pharynx), l’anus et le rectum. Les yeux peuvent aussi être infectés, ce qui est rare chez l’adulte. Toutefois, les nouveau-nés et les personnes enceintes atteint·e·s de chlamydiose courent le risque de contracter cette infection aux yeux1–4

Comment la chlamydiose se transmet-elle?

La chlamydiose peut se transmettre entre deux personnes par contact sexuel.

Les relations sexuelles vaginales et anales pénétrantes sans condom sont celles qui sont associées au plus grand risque de transmission de la chlamydiose.

La chlamydiose peut se transmettre lorsqu’une personne atteinte de cette infection à la bouche ou à la gorge a une relation sexuelle orale avec une autre personne, ou encore lorsqu’une personne a une relation sexuelle orale avec une personne atteinte de chlamydiose aux organes génitaux ou à l’anus. La chlamydiose se transmet facilement durant les contacts bucco-péniens (bouche sur pénis) sans condom. La chlamydiose peut également se transmettre par contact bucco-vaginal ou bucco-anal (anulingus ou rimming) si une digue dentaire n’est pas utilisée, quoique cette voie de transmission soit moins fréquente.   

La transmission peut résulter du partage de jouets sexuels, en particulier si un condom neuf n’est pas utilisé et que le jouet n’est pas lavé entre les utilisations. Elle peut se produire lorsqu’une personne en masturbe une autre ou qu’elle lui passe un doigt si du sperme ou des sécrétions vaginales sont ainsi transférés.

La chlamydiose peut se transmettre au nouveau-né durant l’accouchement1,3–5.

Qui est à risque?

La chlamydiose est l’ITS d’origine bactérienne la plus courante au Canada. Toutes les personnes sexuellement actives, y compris les victimes de violence sexuelle, peuvent contracter cette infection.

Certaines activités augmentent plus que d’autres les risques de contracter la chlamydiose ou de la transmettre à une autre personne :

  • relations sexuelles sans condom avec une personne atteinte de chlamydiose;
  • relations sexuelles sans condom avec une personne habitant dans une région où la chlamydiose est courante;
  • relations sexuelles sans condom avec un·e nouveau·elle partenaire;
  • relations sexuelles avec plus de deux partenaires sexuel·le·s sur une période de 12 mois.

La prévalence de la chlamydiose est plus élevée (autrement dit, elle est plus fréquente) dans certains groupes, notamment :

  • Les femmes cisgenres
  • Les hommes gais, bisexuels et autres hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (gbHARSAH)
  • Les Autochtones
  • Les jeunes sexuellement actifs
  • Les enfants nés de personnes ayant présenté une chlamydiose pendant la grossesse
  • Les personnes s’adonnant au travail du sexe
  • Les personnes qui s’injectent des drogues
  • Les personnes détenues
  • Les jeunes de la rue
  • Les personnes qui ont déjà présenté des ITS

Au Canada, la prévalence la plus élevée d’une forme particulièrement grave de chlamydiose, appelée LGV (lymphogranulomatose vénérienne), concerne la population des gbHARSAH1,2,6–9.

Symptômes

La plupart des personnes atteintes de chlamydiose n’éprouvent aucun symptôme. Si des symptômes se manifestent, ils apparaissent habituellement entre deux et trois semaines après l’infection (période d’incubation), mais ils peuvent mettre jusqu’à six semaines avant de se manifester. La chlamydiose non traitée peut persister pendant plusieurs mois. Les symptômes de la chlamydiose ressemblent à ceux d’autres ITS, comme la gonorrhée, et sont parfois confondus avec eux.

Chlamydiose du col de l’utérus : Les symptômes peuvent inclure une augmentation ou des changements dans les sécrétions (liquide) vaginales, une odeur vaginale inhabituelle, des douleurs durant les relations sexuelles vaginales, et des saignements entre les règles. Comme ces symptômes sont souvent légers et qu’ils ne sont pas propres à la chlamydiose, ils peuvent être confondus avec des infections du vagin ou de la vessie. Si la chlamydiose se propage dans l’utérus et les trompes de Fallope, d’autres symptômes peuvent survenir, y compris des douleurs dans le bas de l’abdomen, de la fièvre ou des nausées.

Chlamydiose de l’urètre : Les symptômes peuvent inclure un écoulement aqueux ou laiteux jaunâtre ou blanchâtre, une sensation douloureuse de brûlure pendant la miction (action d’uriner), des démangeaisons urétrales ainsi qu’une douleur ou une enflure aux testicules.

Notons que les symptômes de la chlamydiose peuvent varier chez les personnes trans selon qu’elles ont subi une intervention chirurgicale dans le bas du corps et selon le type d’intervention.

Chlamydiose du rectum ou de l’anus : Les symptômes peuvent inclure des démangeaisons, des douleurs, une inflammation (rectite), des écoulements ou des saignements rectaux ou anaux.

Chlamydiose de la gorge ou de la bouche : Les infections de la bouche ou de la gorge ne sont souvent associées à aucun symptôme; il arrive cependant que les personnes atteintes aient mal à la gorge.

Chlamydiose de l’œil : Une chlamydiose de l’œil peut provoquer une affection appelée conjonctivite (rougeur oculaire). Ses symptômes incluent une enflure des paupières, des picotements et des rougeurs de l’œil, ainsi qu’un écoulement verdâtre, blanchâtre ou jaunâtre formant une croûte sur l’œil. Chez les nouveau-nés, cette affection est une urgence médicale1,3,4,10.

Complications

La chlamydiose peut donner lieu à des infections complexes, dont certaines très graves, surtout si elles ne sont pas dépistées et traitées rapidement.

La chlamydiose du col de l’utérus peut se propager dans l’utérus et les trompes de Fallope et provoquer une maladie inflammatoire pelvienne (MIP). Celle-ci peut causer des douleurs abdominales chroniques, une infertilité et un risque accru de grossesse ectopique (complication potentiellement grave de la grossesse où l’embryon s’implante à l’extérieur de l’utérus).

La chlamydiose peut se transmettre au nouveau-né pendant l’accouchement. Il s’agit de la cause la plus courante d’infection à l’œil (conjonctivite) chez le nouveau-né. La chlamydiose du nouveau-né peut également toucher le nez, la gorge, les poumons, le vagin, l’urètre et le rectum. Les nouveau-nés exposés à la chlamydiose pendant l’accouchement peuvent présenter une pneumonie.

Si elle n’est pas traitée, la chlamydiose urétrale peut causer une inflammation de l’épididyme (appelée épididymite). L’épididyme est un tube situé dans le testicule qui entrepose et transporte le sperme. L’épididymite peut provoquer une infertilité.

La chlamydiose rectale peut entraîner une rectite, c’est-à-dire une inflammation de la membrane du rectum, qui risque de devenir chronique.

Une infection non traitée de l’œil (conjonctivite) causée par la chlamydiose peut provoquer des lésions cicatricielles de la cornée et des troubles de la vision.

Si elle n’est pas traitée, la chlamydiose peut également entraîner une forme d’arthrite réactionnelle qui cause des douleurs articulaires et une enflure des doigts et des orteils. La plupart des cas se résolvent spontanément en l’espace de quatre à six mois. Environ la moitié des patient·e·s présentent des récidives, une minorité d’entre eux ou elles étant aux prises avec des symptômes chroniques.

Certaines souches de Chlamydia peuvent provoquer une infection parfois très grave appelée lymphogranulomatose vénérienne (LGV), qui affecte les ganglions lymphatiques et le rectum. Faute de traitement, la LGV peut causer des lésions à long terme au rectum et au système lymphatique (système de transport des globules blancs qui combattent les infections et autres maladies)2,6,11–14

Tests de dépistage et diagnostic

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) recommande un dépistage annuel de la chlamydiose chez les personnes sexuellement actives de moins de 25 ans, les hommes gbHARSAH et les personnes transgenres. Un dépistage ciblé est recommandé pour les personnes de 25 ans et plus qui présentent certains facteurs de risque, les personnes enceintes et les nouveau-nés de personnes enceintes atteintes de chlamydiose.

Pour le dépistage de la chlamydiose, on prélève des échantillons aux sites possibles de l’infection afin de les tester et de déceler la présence de la bactérie. Pour confirmer une infection du tractus urinaire ou de l’appareil génital, il peut être nécessaire de prélever un échantillon d’urine ou d’effectuer un frottis du vagin, du col de l’utérus ou de l’urètre. En cas d’écoulement urétral ou vaginal, un échantillon pourrait être prélevé. Si la personne a eu des relations sexuelles orales ou anales, un frottis de la gorge ou du rectum pourrait être effectué.

Deux méthodes principales permettent de dépister la chlamydiose dans les échantillons recueillis : les TAAN (tests d’amplification des acides nucléiques) et les cultures cellulaires.

Pour la chlamydiose, les TAAN sont les tests les plus précis et sont désormais à privilégier, à moins qu’ils ne soient pas disponibles. Les tests de culture cellulaire servant à dépister la chlamydiose ne sont plus offerts systématiquement au Canada.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) recommande d’utiliser les TAAN dans la mesure du possible pour tester les échantillons d’urine et les frottis de l’urètre, du col de l’utérus, du pharynx, du rectum et des yeux (conjonctive).

La LGV est diagnostiquée par génotypage d’échantillons dans lesquels la présence de la bactérie responsable de la chlamydiose a été établie. En examinant le profil génétique de la bactérie, un laboratoire peut déterminer s’il s’agit de l’un des types de bactéries à l’origine de la LGV. 

L’ASPC recommande que toute personne présentant des facteurs de risque d’infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) fasse l’objet d’un dépistage et reçoive un traitement adéquat au moment même du test de dépistage de la chlamydiose. En particulier, des échantillons supplémentaires doivent être prélevés pour le dépistage de la gonorrhée, car les taux de cette infection sont élevés chez les personnes atteintes de chlamydiose. L’ASPC recommande également du counseling et un test de dépistage du VIH, un test sérologique (sanguin) de dépistage de la syphilis et la vaccination contre l’hépatite B, l’hépatite A et le virus du papillome humain (VPH)2,3,15.

Notification de l’infection aux partenaires

La chlamydiose est une infection à déclaration obligatoire au Canada. Cela veut dire que l’infection doit être signalée aux autorités de santé publique lorsqu’elle est confirmée par une clinique, un·e professionnel·le de la santé ou un laboratoire. Lorsqu’une personne reçoit un diagnostic confirmé de chlamydiose, le ou la professionnel·le de la santé qui s’occupe d’elle lui demande de contacter tou·te·s les partenaires avec qui elle a eu une relation sexuelle dans les 60 jours précédant le test ou l’apparition des symptômes ou de fournir leurs coordonnées. Si le ou la client·e décide de ne pas contacter ses partenaires sexuel·le·s, le ou la professionnel·le de la santé tente de le faire et les encourage à se faire tester et traiter pour la chlamydiose. L’ASPC recommande de traiter tou·te·s les partenaires avisé·e·s sans attendre les résultats des tests. Par souci de protection de l’anonymat du ou de la client·e de référence, son nom n’est pas communiqué aux partenaires sexuel·le·s contacté·e·s1,16.

Traitement

La chlamydiose peut être guérie avec un traitement antibiotique.

Dans la plupart des cas, le traitement recommandé est soit une seule dose d’azithromycine par voie orale (en comprimé), soit un traitement de sept jours par voie orale à base de doxycycline. Les taux d’efficacité de ces deux médicaments sont élevés. Les recommandations diffèrent pour les personnes enceintes ou qui allaitent, car la doxycycline ne doit pas être utilisée dans leurs cas.

Pour les cas confirmés de LGV, un traitement de 21 jours à base de doxycycline est à privilégier. 

Un deuxième test (dit test de guérison) n’est généralement pas effectué lorsque le traitement est terminé, que les symptômes (le cas échéant) ont disparu et que la personne concernée n’a pas été exposée de nouveau à un·e partenaire infecté·e. Les exceptions à cette règle sont la persistance des symptômes après le traitement, l’observance thérapeutique sous-optimale (doses oubliées), l’utilisation d’un schéma thérapeutique non préconisé et les cas de personnes prépubères ou enceintes. 

Comme la réinfection par Chlamydia est fréquente, l’ASPC recommande que toutes les personnes atteintes de chlamydiose soient testées de nouveau trois mois après la fin du traitement17.

Qu’en est-il du VIH?

La chlamydiose peut provoquer une augmentation de la quantité de VIH dans les sécrétions génitales et rectales des personnes séropositives, ce qui peut augmenter le risque de transmission du VIH ou d’infection par ce virus. Cependant, des données probantes montrent que les personnes vivant avec le VIH et suivant un traitement efficace ne transmettent pas le VIH par voie sexuelle, même si elles ou leurs partenaires présentent une ITS, y compris la chlamydiose18–21.

Prévention

L’utilisation systématique et adequate de condoms réduit le risque de contracter la chlamydiose ou de la transmettre à quelqu’un d’autre durant les relations sexuelles anales ou vaginales pénétrantes. Il existe deux sortes de condoms. Le condom externe (parfois appelé condom « masculin ») est une gaine faite de polyuréthane, de latex ou de polyisoprène qui couvre le pénis pendant la relation sexuelle. Le condom interne (parfois appelé condom « féminin ») est une poche faite de polyuréthane ou d’un genre de latex synthétique appelé nitrile que l’on peut insérer dans le vagin ou le rectum.

Il arrive que certains hommes trans découpent un condom ou une digue dentaire pour l’ajuster à leurs organes génitaux.

L’usage de condoms ou de digues dentaires peut réduire le risque de transmission de la chlamydiose pendant les relations sexuelles orales ou bucco-anales (anulingus ou rimming).

Nettoyer les jouets sexuels partagés et les recouvrir d’un condom neuf entre chaque utilisation peut réduire le risque de transmission de la chlamydiose en évitant l’échange de sécrétions corporelles.

Toute personne qui reçoit un diagnostic de chlamydiose devrait s’abstenir de relations sexuelles jusqu’à ce qu’elle soit traitée et que tous ses symptômes aient disparu. La notification, le dépistage et le traitement de l’infection chez tou·te·s les partenaires sexuel·le·s d’une personne atteinte de chlamydiose contribuent à prévenir la propagation de cette infection.

La personne qui a guéri d’une chlamydiose ne peut pas la transmettre à quelqu’un d’autre. Elle peut toutefois la contracter à nouveau par la suite, et la transmettre.

Le recours à une prophylaxie pré-exposition (PrEP) contre le VIH ne prévient pas l’infection ou la transmission de la chlamydiose3–5,22.

Notes

i Cisgenre : personne dont l’identité de genre correspond au sexe qu’on lui a assigné à la naissance.

ii Trans : terme général décrivant des personnes aux identités et aux expressions de genre diverses qui ne se conforment pas aux idées stéréotypées de ce que signifie être une fille/femme ou un garçon/homme dans la société.

(Définitions tirées de Creating Authentic Spaces: A gender identity and gender expression toolkit to support the implementation of institutional and social change, publié par The 519, Toronto, Ontario.)

Crédits

Ce feuillet d’information a été créé en partenariat avec le Conseil d’information et d’éducation sexuelles du Canada (CIÉSCAN).

Ressources

Le condom pour la prévention de la transmission du VIH – Feuillet d’information

Guide pour une vie sexuelle plus sécuritaireRessource pour les client·e·s

Le sexe oralRessource pour les client·e·s

L'essentiel des ITS bactériennesRessource pour les client·e·s

Infections transmises sexuellementLivret (Agence de la santé publique du Canada - ASPC)

Références

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Publié : 2023

Auteur : Miller D

Traduction : Boutilier A, Perez E